MULTIPLICATION DES PLANTES
Multiplication des plantes par graines et bourgeons
Observation de ces deux modes de multiplication. En quoi diffèrent-ils ? Les procédés de la culture dans le jardinage sont infinis. Ils varient pour ainsi dire d’une plante à l’autre, et, pour chacune , ils se modifient suivant les lieux, les climats, les terrains, les saisons. « la multiplication des plantes et leur entretien renferment presque toute la science du jardinier. »
Les plantes se propagent et se reproduisent de deux façons : par les graines et par des parties, fragments d’elles-mêmes. Il existe différents procédés de reproduction : l’éclatage, le marcottage, le bouturage et le greffage. Ils s’accomplissent soit avec un bourgeon proprement dit, soit avec un bourgeon à l’état d’œil, soit avec un bourgeon à l’état de rameau.
Avec un morceau, une partie de plante, vous pouvez obtenir une seconde, une troisième, une multitude de plantes absolument semblables à l’individu duquel vous avez détaché ces parties. Si vous multipliez une plante par des graines , vous cessez de propager l’individu, parce que la graine qui germe est le résultat d’une fécondation. Vous avez bien la même espèce, mais non plus l’individu dans l’espèce.
Observation de ces deux modes de multiplication. En quoi diffèrent-ils ? Les procédés de la culture dans le jardinage sont infinis. Ils varient pour ainsi dire d’une plante à l’autre, et, pour chacune , ils se modifient suivant les lieux, les climats, les terrains, les saisons. « la multiplication des plantes et leur entretien renferment presque toute la science du jardinier. »
Les plantes se propagent et se reproduisent de deux façons : par les graines et par des parties, fragments d’elles-mêmes. Il existe différents procédés de reproduction : l’éclatage, le marcottage, le bouturage et le greffage. Ils s’accomplissent soit avec un bourgeon proprement dit, soit avec un bourgeon à l’état d’œil, soit avec un bourgeon à l’état de rameau.
Avec un morceau, une partie de plante, vous pouvez obtenir une seconde, une troisième, une multitude de plantes absolument semblables à l’individu duquel vous avez détaché ces parties. Si vous multipliez une plante par des graines , vous cessez de propager l’individu, parce que la graine qui germe est le résultat d’une fécondation. Vous avez bien la même espèce, mais non plus l’individu dans l’espèce.
/Jardin/jar.png)
Commentaires
Enregistrer un commentaire